Tournoi Inter Village [PV TOUS]

Tout les ninjas de Naruto Trinity des villages de Konoha, Suna, Kiri, Oto, Akatsuki et Sasuke doivent poster ici, pour le grand tournoi inter village. Les récompenses sont élevés alors profitez-en, et cela fera revivre le forum. Postez s'il vous plait.

Le jour venait de se lever et avec lui, les faibles rayons du soleil de la matinée. Les petits oisillons piaillaient et déjà dans les rues, on commençait à s'activer. Les commerces venaient d'ouvrir, du simple marchand de fruits au grand vendeur de vêtements pour personnes plus que très aisées. Tous s'activaient, mais moi, non, du moins, pas cette fois-ci. Il avait eu une dure journée hier et les doux sons de ses ronflements brisaient la monotonie de sa chambre. Alors qu'il était encore dans un profond sommeil, un petit moineau se posa sur la rambarde du balcon et fit profiter le jeune homme de ses bruyantes notes aigus. J’ouvrais doucement mes yeux et souris quand je vis le petit oiseau me fixait avec tant de curiosité. Nous restâmes un moment à se fixer l'un l'autre, lorsque le volatile s'envola, certainement las de ce petit jeu. Soupirant je me levais pour fermer le peu de rideaux que j’avais avant d’ouvrir mes yeux marron et noir. Ces yeux vides d’amour et de sentiments. M’asseyant sur le bord de mon lit je me laissais plongé dans les fantômes de mon passé, du temps où je n’ai été encore qu’un petit garçon, avec plein d’amis et une famille en or comme dirait-on . J’étais heureux en ce temps là. Maintenant je ne recherche plus le bonheur, ce que je veux c’est être fort, faire la guerre et créer un monde meilleur. Je me levais doucement et respira l'air frais.

Je me dirigeais vers mon balcon et restais un moment, observant le paysage qui s'offrait à moi. Je regardais avec attention la petite foule qui s'activait en bas. Je m'étirais et s'engouffrais de nouveau dans ma chambre prenant de quoi faire une toilette. Je sortis de son bain péniblement et m'étirais de nouveau. J’attrapais un peignoir qui était accroché à un mur l'enfila tranquillement. Les goûtes perlaient sur mon visage et tombaient sur le sol de marbre en de petits « plocs » inaudibles. Je saisis un miroir et regarda l'image qui se formait à l'intérieur. C'était une bien triste vision qui s'offrait à mes yeux. Mes cheveux tendaient à présent vers le noir marron, un noir aussi profond que les puits de l’enfer d’origine blanc. Au fond de mes yeux bleus semblait se refléter une lueur de solitude et de tristesse sans fin. Je soupirais et m'efforça de me dépêcher sous peine d'être en retard. Je me séchais rapidement et enfila ma tenue préférée. Il fallait dire que j’avais fière allure dans celle-ci. Je suis malheureux

Car la chose que j’avais le plus appris, c'est que le malheur succède toujours le bonheur et que le bonheur est au sein du malheur. Mais bon, même si bonheur rime avec malheur, c'était quand même deux choses qui ne pouvaient être négligés. Ils m’ont aidées toutes les deux à grandir, s'épanouir, faire des erreurs et apprendre. Tel le Ying et le Yang, le jour et la nuit, le mal et le bien. Chacun ne pouvait exister sans l'autre, ils se différenciaient l'un à l'autre. Que serait la vie s'il n'y avait que de la joie qui en regorgeait ? Elle serait bien ennuyeuse... pénible, qui ne vaut pas vraiment le coup de la continuer. Que serait-elle s'il n'y avait de l’affliction ? On ne saurait distinguer le bien là dedans, on aurait plus la volonté de vivre. C'est ce que j’avais appris avec le temps.

Je sortais donc de chez moi, par ce temps radieux, en faisant bien attention de ne pas claquer la porte. Le ciel était d'un bleu magnifique, il ne faisait ni trop chaud ni trop froid, il n'y avait pas un bruit à part les bruits de la nature et de ses habitants, je me sentais si bien. Je pouvais voir les prairies verdoyantes et la rivière d'un bleu comme mes yeux à côté du magasin de bonbon, c'était vraiment beau à voir. Je marchais, en prenant mon temps, j’étais en avance. Il n’y avait plus un bruit. Le silence... quelle belle chose après tout. Pourquoi polluer une situation déjà magnifique avec d'absurdes paroles. Il n'y a pas tout le temps besoin de mots, bien que ceci soient très utiles... Bien plus que utiles, je dirais même vital ! Bien qu'on puisse s'en passer, il a tout de même bien fallut un langage pour que nous, êtres humains, nous nous comprenions. Je venais d’arriver au village et déjà. Il y avait foule dans toutes les allées, remarque, c'était un jour de marché. On pouvait remarquer là toute l'activité du village dans la plupart des rues ; Les villageois parlant à ne plus s'entendre, les enfants bousculant tout la foule afin de se frayer un chemin, les marchands essayant d'attirer les habitants. Bref, tout cela était très animé, et sous un beau temps d'été qui ne laissé place à aucun nuage. J'avançais tranquillement, cherchant les chemins les plus accessibles. Après avoir traversé astucieusement la foule pendant plusieurs minutes, je déboucha dans une rue beaucoup plus calme que les précédentes. Là, l'ambiance était bien différente : Presque aucun bruit, à part l'agitation lointaine des habitants. Une air un peu plus froide, malgré le soleil qui ne cessé de frapper les terres du pays du feu.

Après quelques minutes de marche qui me semblèrent être une éternité je fus enfin arrivé vers mon lieu de prédilection. La base des Anbus, là ou j'avais fait ma jeunesse, cela faisait bien longtemps que je n’étais pas venu ici. Cela me rappelait de vieux souvenirs. Le soleil brille déjà de milles feu derrière ma fenêtre et il n’y avait pas beaucoup de vents, c’était une bonne journée qui s’annonçait, enfin c’est ce que je pensais. Le soleil était d’un bleu magnifique et brillait de milles feu. Des géants de roche... Il n'y avait que cela à perte de vue et on n'aurait su en échapper. Les montagnes dominaient de chaque côté et rendaient tous les êtres insignifiants par rapport à ses grandeurs monumentales. Je les contemplais et elles me dominaient. Cela avait fonctionné ainsi jusqu'à présent, et cela perdurerait encore pendant très longtemps. Au loin on n'entendait plus que le chant des oiseaux bercé par le ruissellement d'une cascade. C'était très agréable. Je levais la tête vers le ciel. Aujourd'hui le ciel était d'un bleu magnifique, sans aucun nuage. Il y avait une brise légère qui soulevait mes cheveux qui n'étaient désormais plus cachés, les tirant en arrière. C'était très agréable de rester ici, à contempler le beau ciel bleu. Je pourrais rester ici des heures.

En plus du beau ciel bleu et de la brise légère il n'y avait aucun bruit à part quelques oiseaux qui chantaient par-ci par là . Le silence... quelle belle chose après tout. Pourquoi polluer une situation déjà magnifique avec d'absurdes paroles. Il n'y a pas tout le temps besoin de mots, bien que ceci soient très utiles... Bien plus que utiles, je dirais même vital ! Les gens parlent pour ne rien dire, ou pour dire des absurdités. Par exemple beaucoup de gens disent je t'aimes à d'autres sans savoir ce que cela veut dire. On ne dit pas je t'aimes comme on dit bonjour. Autre exemple qui me tient à coeur également : Les mots bien et mal .Je n'aime pas ces expressions de « bon » ou de « mauvais », ni les termes de « gentil » et de « méchant ». Chacun fait ce qu'il pense être le mieux pour le monde, il n'y a pas de bien ou de mal ni de gentil ou méchant. Ce sont que des absurdités faites par nous, humains. J'étais devant l'arene qui allait servir pour le tournoi, mais je tournais la tête vers Konoha, mon village, il est si beau. Je ferais tout pour le protéger, au péril de ma vie ...

Le beau temps commençait juste à se lever, les nuages disparaissaient au fur et à mesure du voyage d'Hiroshi pour se rendre à Konoha no Satô. Le soleil brillait et chauffait de plus en plus fort également, le ciel était d'un bleu éclatant. L'homme était presque à la moitié du chemin, il lui restait encore deux bonnes heures de marche mais ça allait, il supportait, ce n'était pas si terrible que ça par rapport à ce qu'il avait connu pendant son enfance. Il s'était habillé d'une façon particulière changeant beaucoup de d'habitude. Effectivement, il portait un long vêtement à capuche noire. Cette sorte de veste cachait tout son corps, même ses jambes, on ne voyait que son visage et ses sandales noires de ninja. Il s'était habillé de cette façon car comme il se rendait à Konoha et qu'il faisait parti de l'organisation criminelle Akatsuki, il pourrait y avoir quelques soucis à son arrivée là-bas. Il marchait les bras à l'intérieur de sa veste, les manches dépassait légèrement ses bras, c'est d'ailleurs pour ça que l'on n'apercevait pas du tout ses mains. Lorsqu'il marchait, une ambiance silencieuse se fit entendre à chacun de ses pas, les oiseaux ne sifflaient plus, les feuilles ne bougeaient plus. Soudain, il se dit :

*J'espère qu'avec cet accoutrement je ne me ferais pas reconnaître par les gardes du village, car on ne sait pas ce qui pourrait arriver, même si je pense pouvoir me débrouiller un peu. Mais je pense qu'il vaut mieux que je reste comme ça pendant mon séjour à Konoha, ce sera mieux … *

Il continua donc sa route vers le village, il n'était maintenant plus très loin, il lui restait encore environ une demi-heure.

~ Une demi-heure plus tard ~

Hiroshi arriva enfin devant les portes de Konoha no Satô, il avança prudemment, en baissant la tête, vers
les gardes qui le regardaient bizarrement. Il releva sa tête laissant apparaître son Diaringan.

Son regard était terrifiant, on se demandait ce qu'il comptait faire. Il avança tout droit vers les gardes qui se rapprochèrent pour l'intercepter en disant :

-Qui es-tu ? Que viens tu faire dans le village ?!

-Je m'appelle Hiroshi Kaito … Je viens pour le tournoi inter-village, je viens du village caché du Son, Oto no Satô.

-Mhhh, Bien. Tiens, ton pass pour le tournoi, tu devras le présenter au contrôleurs aux portes de l'arène. Tu peux entrer..

Hiroshi sourit légèrement puis entra dans le village. Il se rendit ensuite à l'arène où il présenta son pass aux contrôleurs.

-Alors, Hiroshi Kaito du village caché du Son. Très bien, tu peux passer, les vestiaires des participants se trouve à gauche du couloir.

-Merci..

Hiroshi ouvra les portes de l'arène et entra en se dirigeant vers les vestiaires sans se changer. Il y resta quelques minutes puis il entra dans la salle où tous les participants devaient se réunir avant d'entrer dans le cœur de l'arène. Il pensa :

*Il faut que je remporte ce tournoi … Où du moins que j'aille le plus loin possible.. Au moins pour mon honneur.. Pour avoir été rejeté par mon père.. Et pour m'être entrainé seul jusqu'à aujourd'hui.. Petit frère... Je me battrais jusqu'à mon dernier souffle pour toi.. *

Hiroshi baissa la tête, assit sur l'un des bancs présents dans la salle, en attendant les autres participants.

Invité

La grotte du repaire de l'Akatsuki était d'un noir telle les ténèbres l'envahissaient, l'humidité y régnait chaque minutes, chaque heures, chaque jours... Dans le plus profond de la grotte, on pouvait voir des yeux d'une couleur rouge sanglant qui ne bougeaient pas, même pas un battement de cils se faisait apercevoir, il n'y avait que cette lueur rouge qui pouvaient figé les regards qu'ils croisaient à part quelques un comme celui de cet homme, le chef de l'Akatsuki, Uchiha Madara, son regard étaient beaucoup plus monstrueux que n'importe quel regard et surtout son sharingan, ce clan maudit des Uchiha qui avait été déssimé par ce Itachi laissant son frère en vie, quel fin tragique pour celui ci.

Les yeux rouges étaient en hauteur ce qui menait à suposer que la personne était sur un rocher, et c'était le cas....cette personne n'était qu'autre que Kasohi Satsujin" appartenant au plus grand clan des assassins, enfin, faisait partit, cela fait depuis bien trois ans qu'elle avait déserté ce clan pour devenir le bras droit de Uchiha Madara et elle en était fier et surtout ravie car elle pouvait tuée beaucoup de personne ce qui l'enchantait.

Elle était accroupit sur son rocher, en ne faisant rien d'autre que de penser à ces rumeurs qui n'arrêtait pas de parvenir de toutes les directions, cette rumeur....ce tournoi....cela m'était Kasohi dans tous ces états, elle n'en pouvait plus, elle allait devenir folle si elle se retenait encore. Ces yeux commençèrent à virer aux jaunes, ces mains se transformèrent peu à peu, elle mit ces mains sur sa tête pour essayer de contrôler cette envie de sang, de meurtre.

-Il faut que je résiste......HIhHIHIHIHI.......du sang.....

C'est comme si Kasohi avait deux personnalités sa faisait flippée.... Ces yeux devenèrent entièrement jaunes et ces mains étaient entièrement transformés, son sourire s'agrandissa, un énorme sourire sadique. Elle s'éclipsa totu à coup dans un autre endroit de la grotte cassant des tonnes de rochers...Dix minutes après, elle cessa, elle reprit son calme. Ces yeux étaient toujours aussi jaunes.

-Heureusement que le chef n'est pas là....sinon il aurait piquer une crise si il aurait vue ce que j'aurais fait. Il vaut mieux que je rejoingne les autres aux tournois. Allons y.

Elle s'habilla tout simple, mettant un léger manteau avec une capuche pour cacher surtout son visage au cas où si quelqu'un la reconaissait. Elle se mit en route pour le village de Konoha, el chemin alalit durer au moins un jours entier, en sortant de la grotte, elle marchait calmement, elle ferma les yeux pour voir dans les alentours si il n'y avait personne.

Puis elle partit d'un coup de vent, sa vitesse étant augmentait à cause de ces yeux activés, elle allait arrivée plus vite prévut. Elle entra dans une forêt assez vaste, à chaque fois qu'elle croisait un animal, sanglier ect.... elle le tuait en un coup de carte cela l'appaisait un peu, mais cela lui donnait aussi envie de plus de sang. Elle parcoua cette forêt pour arriver sur une vaste plaine où il n'y avait personne, pourtant il y avait beaucoup de fleur à ceuillir. Elle s'arrêta pour en ceuillir une, une jolie fleur blanche, elle la tena dans sa main et reprit son chemin...la nuit tombé elle n'était plus très loin du village, elle cessa son chemin et se reposa. Elle dormit laissant un bout de sa conscience éveillé au cas où si quelqu'un l'attaquait.

Malheureusement personne ne l'avait attaqué de la nuit, elle se réveillé voyant les premiers rayons du soleil reflétait sur elle. Elle avait mit sa fleur dans un vase qu'elle avait fabriqué grâce à un tronc d'arbre, et elle y avait mit de l'eau de la rivière qui était à côté, elle la prit et repartit pour le village. Un oeil était jaune et l'autre rouge cela arrivait très peu souvent à Kasohi. Vers le début de l'après midi, elle put apercevoir les portes du villages, elle marchait tranquillement sa fleur blanche qui brillait dans sa main. Elle s'approchait de la porte, elle aperçut des gardes, qui la stoppèrent quand elle arriva aux portes.

-Qui êtes vous?

Elle leva légèrement la tête, ces deux yeux étaient redevenus rouges, elle prit une voie douce et tendre.

-Ha...Bonjour. Je suis venue ici pour participer aux tournois.
-Ha oui, de quel village êtes vous?

Le garde avait un charmant sourire en voyant kasohi. Tout en souriant kasohi répondit

-Oto No Kuni!

Le garde retira légèrement son sourire assez étonné que cette charmante jeuen fille fasse partit d'un tel village surement....

-Bienvenue à Konoha. Puis je demander ton nom.
-Oui! Kasohi!
-Vous n'avez de nom de famille?
-Je suis obliger de le donner?
-Euh Non...Voila ton pass. Rends toi à l'arène pour le tournoi.
-Merci.

Kasohi prit son pass et partit pour l'arène, elle ne voulut pas donner son nom car elle ne voulait pas que les gens savent de quel clan elle venait et elle n'aimait pas son nom. Kasohi avançait, s'approchait de plus en plus de l'arène ces yeux redevenèrent jaunes petit à petit, elle essaya de se calmer pendant le long du chemin. Elle arriva à l'arène, un Juunin l'arrêta.

-Votre pass, s'il vous plait.
Elle lui donna son pass.
*Qu'il est mignon.Il me plaît.Et il ma l'air bien mure...hihihi*
-Très bien vous pouvez passez, aller à gauche ce sont les vestiaire.
-Très bien merci.

Elle posa la main sur la poignet de la porte, et l'ouvrit. Elle vit un homme assis sur le banc rcouvert d'un manteau. C'était un membre de l'Akatsuki, elle ne le conaissait pas très bien. Elle la referma derrière elle, Kasohi ne se changea pas non plus.

-Bonjour Hiroshi-kun.

Elle ne savait pas vraiment quoi dire, alors elle s'assit sur un autre banc, elle prit ces cartes et s'amusait à se les passer de main en main

Après avoir lu ce mot - laissé par Madara Uchiha -, je me hâtai vers ce village pathétique qu'est Oto ... Mais pourquoi cet appel ? Rien que cette question me refroidît ; des frissons envahirent mon corps, ce que je ne compris pas desuite. Ce combat ... Il m'avait affaibli. Je me devais de faire attention à moi, tout en ne montrant aucune faiblesse à tout adversaire. Passons ... Le village n'était pas très loin ... Une petite heure de marche et j'y étais. Sans savoir pourquoi, j'avais comme un mauvais présentiment ... Tout était trop calme ... Aucuns sons ... Rien, mis à part le bruit de mes pas, lents et retenus par la méfiance que je portais envers cet endroit maudit. Cette ambiance glaciale ne dura que le temps de ma route vers le village. Au seuil d'Oto no Kuni, je sentis immédiatement un changement d'air, c'était beaucoup plus éttoufant ... Je ne stoppai pas ma marche. À mon plus grand étonnement, je perçus un incendie, au loin. Un petit sourire s'afficha sur mon visage. C'était l'oeuvre de mâitre Madara, du moins, c'est ce que je croyais ... Plus je m'approchais de l'embrasement, plus j'avais du mal à respirer. Il fallait le faire pour que je ressente cela, moi, habitué du Katon ! J'y étais ... Mais, il n'y avait rien. Que dall ! Je soupirai, me disant que les hostilités étaient terminées, et que j'avais loupé un grand combat. Je n'avais pas croisé le moindre membre d'Akatsuki. Ils n'étaient pas repartis au repaire, non ! Qu'est-ce que je pouvais bien faire ... Maintenant planté, là, au milieu des flammes ? Pourquoi ne retournerais-je pas à Suna ? Non ... Inutile. Alors, je me décidai très vite à partir à Konoha, pour un tournoi dont j'avais entendu parler ... Un tournoi inter-village. Un peu d'action ne pouvait que me faire du bien ...

" Que sa à faire ... "

Puis, dans un autre soupire, je me mis en route. Cette fois me déplaçant à grande vitesse ... je ne devais pas trainer, le tournoi était proche. Quelques heures de marche, course, sommeil ... Et j'y arrivai ! Eh oui ! Konoha, mon village natal ! Hum ... Le problème était là. Me permettre de me montrer engagerait ma mort, à coup sûr ! Je me dévêtis de ma cape d'Akatsuki et mit ma tenue de Anbu, avec le bandeau de Suna qu'on m'avait remit, et un masque. J'allais sûrement passer avec sa ... Quoi que ... Enfin passons ... J'allai aborder le garde pour savoir où se trouvait l'arêne, et pour obtenir mon pass.

" Bonjour ! Puis-je savoir où se trouve le tournoi et comment on y participe ? "

" Ah ! Vous êtes venu pour ça ! Le tournoi se déroulera dans l'arêne, et voilà un pass spécial. Bonne chance ! "

" Merci ! Bonne journée à vous ! "

Arf ... Sa me dégoutait de parler comme sa ... Je repris mon calme froid et me mit à marcher vers l'arêne. Bizarre, avec ce mix d'équipement, j'étais passé ! Quelle surveillance pathétique ... L'arêne n'était qu'à deux pas, et j'étais déjà quasiment dans la salle d'attente des participants. Je reserrai mon bandeau, qui se trouvait sur mon bras gauche, ajusta mon masque, espérant que personne me demande de l'enlever, et entrai. J'allai desuite dans mon coin. Je croisai les bras, m'appuyai contre un mur et observai mes futur(e)s adversaires ...

UP ninja .